Il y a quelques années, le financement participatif était principalement utilisé pour financer des projets solidaires, créatifs ou innovants. Aujourd’hui, il devient un moyen nécessaire de financer des entreprises à différents stades de leur développement.
Plan de l'article
- Le financement participatif en France : quelques chiffres clés
- Créer ou développer : quel financement participatif choisir ?
- Développer votre MSP
- Lancer une marque ou tester de nouveaux produits
- Démarrer une entreprise ou développer une start-up : investissement en capital
- Et pourquoi pas investir dans la pierre ?
Le financement participatif en France : quelques chiffres clés
3,9 millions* représente le nombre de personnes ayant contribué à des projets au 1er janvier 2018. Aujourd’hui, la barre de 4 millions est certainement franchie !
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24 126 * : c’est le nombre de projets qui ont pu être apparus en 2017 grâce à la collection de financement participatif.
336 millions* : c’est le montant collecté sur les plateformes de financement participatif en 2017.
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121 million** : c’est le montant collecté par les PME via des plateformes de prêts participatifs en 2017, contre 83 millions en 2016 ( 46 %).
Créer ou développer : quel financement participatif choisir ?
Selon le degré de maturité de votre les entreprises, votre entreprise et vos besoins financiers, il existe trois types de financement participatif : prêt, don à donner et investissement en capital.
Développer votre MSP
Le financement participatif ou le financement participatif en prêt convient particulièrement aux entreprises de plus de deux ou trois ans qui cherchent à emprunter une croissance. Ce sont des entreprises matures qui sont déjà rentables. Ce type de financement couvre des besoins allant de 10 000 à 2,5 millions d’euros.
Pourquoi opter pour ce financement ? Une bonne santé des entreprises ne signifie pas nécessairement l’accès au crédit bancaire. Les banques sont généralement réticentes à financer certains besoins et ne fournissent pas les garanties nécessaires : BFR, recrutement, achat petit équipement, campagne publicitaire, recherche et développement… Les analystes des plateformes de financement participatif se concentrent davantage sur le remboursement efficace de la capacité de l’entreprise que sur les garanties ou garanties qu’elle peut présenter. Ainsi, une fois la collection en ligne, les particuliers peuvent prêter à des projets : le dernier mot leur vient.
Si les taux d’intérêt sont plus élevés (de 3,5 % à 10,5 % par an) que sur le crédit conventionnel, ils s’expliquent par l’imposition appliquée aux particuliers. De plus, parce que ces derniers présentent le risque à 100 %. Le prêt participatif offre également divers avantages. En fait, aucune garantie ou garantie n’est requise et le taux d’obtention de fonds est élevé (environ dix jours généralement). En outre, il offre également la possibilité de communiquer avec des milliers de personnes sur son projet, son retour anticipé gratuitement, etc.
Lancer une marque ou tester de nouveaux produits
Crowdfunding ou crowdfunding en dons avec souvent utilisés pour des projets associatifs, culturels ou innovants. Avec un montant moyen de collecte de 5000. C’est pourquoi ce type de financement intéresse toujours les entrepreneurs. Nous examinerons en particulier trois aspects :
- Terminez le financement supplémentaire
La collecte peut compléter le prêt bancaire, le prêt Bpifrance… Par exemple, il peut compléter une allocation personnelle trop petite pour accéder à un prêt bancaire.
- Lancez son tag
Une campagne de financement participatif peut déclencher le lancement de sa marque et le développement de ses clients. Cela est permis en raison des avantages de la communication.
- Testez vos produits ou services
Une entreprise qui démarre ou souhaite proposer un nouveau produit/service peut utiliser le financement participatif pour la prévente ou exécuter ses premiers prototypes. C’est un bon moyen de tester l’intérêt public avant d’embarquer. À plus grande échelle.
Démarrer une entreprise ou développer une start-up : investissement en capital
Le crowdequity ou les investissements en capital permettent aux entreprises de lever des fonds auprès de particuliers. Ces derniers deviennent ainsi des actionnaires minoritaires de la société. La rémunération de ces investisseurs dépend du bénéfice de l’entreprise (et des dividendes qui en résultent). Ce modèle est particulièrement adapté au démarrage d’une entreprise ou au développement d’une start-up. Les entreprises peuvent lever de 10 000 à 2,5 millions d’euros. Comme pour le crowdlending et le crowdfunding, ce type de financement vous permet de fédérer une véritable communauté autour de votre entreprise et de ses projets.
Et pourquoi pas investir dans la pierre ?
En effet, le système de crowdfunding existe également en ce qui concerne l’immobilier. Vous souhaitez investir, mais vous ne savez pas trop ni comment, ni dans quel domaine, vous pouvez vous rendre sur le site de Citesia : https://citesia.fr/
Vous découvrirez les projets immobiliers dans lesquels vous pourrez investir si vous le souhaitez. Les contributeurs viennent de tous horizons, particuliers comme professionnels et grâce à leur investissement, ensemble, ils peuvent donner vie à des projets de construction, de rénovation et autres. En contrepartie de leur participation aux projets de manière financière, les investisseurs reçoivent une rémunération annuelle variant de 7 à 11% brute avant fiscalité. Cette rémunération varie selon les projets et est versée au lancement de l’opération immobilière.
Il faut bien étudier les projets avant. Il s’agit d’un investissement donc un risque potentiel de perte du capital. Il est donc très important de connaître, de lire et de comprendre le projet. Les risques y sont expliqués.